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 SATSURAKO ★ Avant, je n'avais aucun avenir. Mais ça, c'était avant.

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AuteurMessage
Yoshida Satsurako
Yoshida Satsurako

TU RIS MAIS SOIS TRANQUILLE J'aurai tout ce qui brille dans mes mains



SATSURAKO ★ Avant, je n'avais aucun avenir. Mais ça, c'était avant.  593690anigif2
messages : 97
date d'inscription : 06/03/2012
pseudo : CRAYON
âge de la célébrité : 20 ans
copyright : MOI & BOO
citation :
ET MÊME SI LE TEMPS PRESSE, MÊME SI IL EST UN PEU COURT. Si les années qu'on me laisse ne sont que minutes et jours. Et même si l'on m'arrête ou s'il faut briser des murs en soufflant dans des trompettes, ou à force de murmures : J'irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves, où la raison s'achève, tout au bout de mes rêves. GOLDMAN


FIRST LOVE
→ surnom: KANO / SATSU - ft. emi suzuki
→ relations:

SATSURAKO ★ Avant, je n'avais aucun avenir. Mais ça, c'était avant.  _
MessageSujet: SATSURAKO ★ Avant, je n'avais aucun avenir. Mais ça, c'était avant.    SATSURAKO ★ Avant, je n'avais aucun avenir. Mais ça, c'était avant.  EmptyMer 7 Mar - 1:15

Citation :
SATSURAKO ★ Avant, je n'avais aucun avenir. Mais ça, c'était avant.  1145748627

→ A NEW RISING STAR

NOM: Yoshida.
PRÉNOM: Satsurako.
ÂGE: 21 ans.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE: écrire ici.
GROUPE: WITHOUT THEM GLITTER DOES NOT EXIST .
SPÉCIALITÉ: Styliste.

→ I AM WHAT I AM

satsurako fait quotidiennement du sport pour entretenir son corps, elle profite du complexe sportif de l’école pour en faire. ☆ elle adore les pommes, et c’est tant mieux, l’idée de grossir lui donne envie de vomir. elle tient à conserver sa ligne et son corps de rêve. Je tiens à dire qu’elle n’est ni narcissique, ni prétentieuse, disons qu’elle se trouve tout simplement plutôt pas mal. (a) ☆ elle a beaucoup de mal avec les fast-foods, d’ailleurs, vous ne lui ferez jamais avaler un hamburger ou des frites, elle préfère de loin la cuisine japonaise ☆ elle est très ambitieuse, elle rêve de devenir une styliste de renom, aussi doué que son modèle qui est lui-même styliste à cette école ☆ bien qu’elle fut longtemps elle-même assez hypocrite, désormais, elle les déteste, et déteste ceux qui font semblant d’être gentils alors qu’ils ne le sont pas, elle trouve ça inhumain ☆ elle a une peur bleue de se retrouver enfermé dans un lieu sans issu ☆ il n’y a pas un jour ou elle pense à ses parents qui vivent en ce moment dans la misère. Rien que de penser à leur situation, suffit à la motiver à travailler le plus correctement possible. Elle leur envoie chaque mois une partie de son salaire, mais personne n’est au courant ☆ elle a un chat, dans sa chambre à IWP, mais elle évite d’en parler, les animaux étant interdit, on pense qu’il est un chat errant lorsqu’il se balade autour des dortoirs ☆ elle est toujours optimiste, même dans les situations délicates ☆ elle n’est pas forcément toujours agréable et gentille, il lui arrive d’être très franche et même très dur ☆ elle est plutôt polie, mais il lui arrive de partir en vrille devant certaines personnes ☆ elle a beaucoup de mal avec cette idée de « mixité », elle ne supporte pas l’idée que l’on puisse empêcher deux êtres de s’aimer, ce qui lui vaut parfois quelques problèmes. ☆ elle protège les amoureux de l’école si jamais ils se retrouvent en conseil de discipline ou pour tout autre chose. ☆ elle aimerait vivre un véritable conte de fée avec son premier amoureux, elle croit dur comme fer aux histoires d’amours incroyables.

→ ORAL INTERVIEW

Mon histoire commence à Hékinan, préfecture d’Aichi. A côté des villes comme Nagoya ou même Toyota, ma ville n’est pas grande chose. Mes parents travaillaient tous les deux dans une industrie textile de la ville, au bord de la fermeture. Lorsque j’étais plus jeune, je ne m’intéressais pas du tout au monde du travail, et encore moins au travail de mes parents, il est important de le préciser. J’étais une gamine assez espiègle, travailleuse, qui prenait souvent cette mauvaise habitude de toujours bouder, de ne jamais vraiment dire ce qu’elle pense, et j’étais parfois méchante avec mes amies quand me prenait l’envie de balancer des horreurs sur elles sans vraiment réfléchir. Dans mon quartier, les filles jouaient avec les filles, et les garçons avec les garçons. Il n’y avait pour ainsi dire pas beaucoup de mixité, car nos parents avaient cette mauvaise manie de nous interdire de nous mélanger les uns aux autres. Vous vous demanderez sans doute pourquoi, mais la réponse à cette question est simple : nous vivions dans un quartier assez spécial. La seule école primaire et le seul collège disponible du quartier était une école séparée pour les filles et les garçons. Nos parents nous y plaçaient souvent parce qu’ils n’avaient pas envie de nous voir rentrer pour nous plaindre du comportement des garçons, sachant combien les chamailleries entre filles et garçons à cet âge-là sont récurrentes. C’était la même chose à l’extérieur de l’école. Dès qu’une fille se mettait à trainer avec des garçons, ou même à en fréquenter un, des rumeurs et de mauvaises paroles circulaient sur elle. Je n’ai jamais supporté la mentalité des habitants du quartier. Interdire à une fille d’avoir des amis masculins, lui interdire d’avoir des sentiments par un garçon, m’aura toujours déstabilisé. Ce n’est qu’à partir du lycée qu’on nous plaçait dans une école mixte. Certain considéraient la chose suivante : tu es déjà plus mature à l’adolescence, tu es peut-être capable de nous dégotter un futur avocat qui sait ? Mes parents n’étaient pas comme ça, forte heureusement. Moi, j’étais un véritable garçon manqué lorsque j’étais plus jeune, et je me débrouillais toujours pour jouer avec les garçons. J’en ai souvent prit plein la tronche, car souvent, les garçons me rejetaient et je commençais à me dire que nos parents avaient réussis à créer une barrière entre les filles et les garçons du quartier. En entrant au lycée, dans une école publique, mixte, du quartier voisin, on se moqua beaucoup de ma façon de m’habiller, trop masculine à leur gout. J’en ai beaucoup souffert. J’avais les cheveux coupés à la garçonne, et on me jugeait par mon physique plus que par ma personnalité. Je n’avais pas beaucoup d’amis. Je me pris très tard de passion pour la mode. Je ne considérais pas que l’apparence était plus importante que notre personnalité, mais je me rendis compte que les vêtements apportaient quelque chose de plus pour se démarquer des autres et pour se façonner encore davantage cette personnalité. Je pris la décision de faire des études de stylisme, poussé par mes parents. Toutefois l’entreprise de textile ou ils travaillaient tous les deux mit fin à mon rêve de devenir une styliste professionnel, en fermant ses portes. N’ayant pas les fonds financiers pour poursuivre mes études, je m’imaginais finir mes jours à vivre de petits boulots à droite à gauche. Quand je terminais le lycée, mes parents me donnaient toutes leurs économies pour me voir poursuivre mon rêve. Je refusais d’abord, mais ils continuèrent à me pousser à partir vers une grande ville comme Tokyo pour le réaliser. Je me suis donné beaucoup de mal pour que mes parents soient fiers de moi. J’étais loin d’être la plus douée à l’endroit où je suivais mes études mais j’ai toujours continué de me battre. Après deux ans d’études, je pris la décision de me lancer directement dans la vie active. Mes parents bien qu’ils aient toujours refusés mon aide, avait besoin de moi plus que jamais pour survivre. Il me fallait donc rapidement trouver un travail, d’autant plus que ma mère souffrait du dos, elle ne pouvait donc pas reprendre un travail quelconque pour le moment. Je reçue bien des critiques lors de mes tentatives d’embauche. Une remarque changea quelque peu ma vie : « AHAHAH ! Peu de gens de votre âge réussissent tout de suite à entrer dans la vie active, en plus vous visez trop haut ! Le seul exemple que j'aurais à vous donner, c'est bien le petit Hyeon Jae d'Idol Wo Produce ! Pas la peine d’espérer qu'une chance de bosser dans un lieu comme celui-là vous sera donné ! ». Qui ça ? En colère, je me renseignais sur la personne qu’il avait prise en exemple avant de me jeter dehors comme une vulgaire chaussette. Le jeune homme dont il m’avait parlé était effectivement très talentueux, et surtout, très jeune. Déjà chef-styliste dans l’école qui forme de futurs idoles, je me m’y à le détester pour avoir cette chance incroyable de travailler à cet endroit, si jeune, et à jalouser son talent car il fallait l’avouer, ses créations étaient superbes à mes yeux. A partir de ce moment-là je me m’y en tête de vraiment réussir, plus ambitieuse que jamais, ce qui me poussa même à postuler sur le lieu de travail de mon rival, heum, de mon modèle. Je n’imaginais pas une seule seconde qu’Idol Wo Produce me donnerait une chance. Je viens à peine d’arriver dans l’équipe des stylistes et bien sûr, je suis très impatiente même si je suis toujours aussi jalouse, de travailler avec mon modèle dans la vie. ♥️

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