NOM: Go.
PRÉNOM: Hara.
ÂGE: 19ans.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 2 Avril à Ulsan.
GROUPE: DREAM TO COME WOMEN IDOL.
SPÉCIALITÉ: Danse et chant.

« T'as rien à faire là, tu te sens pas bien là, tu voudrais rester mourir dans tes vieux draps. Ce monde est trop grand, ce monde est méchant. Qu'ont – ils tous ces gens au rictus blessant à vouloir à tout prix te sortir du rang? Tes pas fait comme eux, t'as pas l'air heureux. Ta solitude salit leurs rêves prétentieux. Tu voudrais que la terre s’arrête un instant. Pour qu'enfin quelqu'un, te tende la main. Et te demande si aujourd'hui tu vas bien. Un peu d'attention, un peu d'émotions. Et tu verrais enfin une belle raison, de pas te foutre en l'air. »

Comme il à été difficile au maître Sayaka d'élevé sa petite protégée. Dur d'éduquer une jeune fille pleine de haine te de violence. C'est pour cela que Maître Sayaka était devant le bureau du proviseur pour négocier son entrée dans l'école.

- Au début, Hara était intenable, dès qu'elle voyait un homme, elle se mettait à crier et à vouloir le frapper. Le départ de son père à été un traumatisme.
- Mais vous comprendrez, Monsieur Sayaka, que nous ne pouvons tolérer un tel manque de respect et un tel comportement au sein de notre école.
- Hara à changé. Elle à pris en maturité, ses crises d'angoisses et de haines ne sont plus là tant qu'elle prend son traitement. Vous savez, c'est la danse qui lui à sauvé la vie. Je vous supplie à genoux de la laissée entrer dans votre magnifique école. C'est une fille très joyeuse, très travailleuse, certes fragile mais très agréable.

Le directeur fit une moue. Puis lâcha un soupir. Maître Sayaka avait beaucoup d'influence dans le monde aristocrate. Alors si il voulait que son école ne tombe pas à l'abandon des familles riches, il fallait qu'il accepte. Il baissa le regard vers le dossier ou une photo d'identité de la jolie Hara était affichée. Que devait - il faire ?

- Je peux la rencontrée ?
- Evidemment. Je vous l'envoie tout de suite.

Maître Sayaka se lève puis sort du bureau afin de laisser entrer une jolie pré-adulte dans le bureau. Ses longs cheveux châtains tombaient en boucles sur ses épaules. Elle fit une légère courbette en guise de bonjour puis elle s'assit après avoir été invitée.

- Go Hara. Pourquoi vouloir entrer dans cette école ?
- Si vous faites allusions à mes crises passées, elles ne se reproduirons plus. Maître Sayaka est quelqu'un de bien, et ke veux qu'il soit fière de moi pour toute les bêtises que j'ai put faire. J'aime danser. Et je veux être une étoile. Une étoile certes parmi tant d'autres, mais une qui brilleras si fort qu'elle saura vous guider là ou vous désirez aller.

Certes le discours de la jolie jeune fille semblait un peu imaginaire, mais elle vivait dans l'imaginaire, une femme enfant.. Le proviseur sourit puis acquiesça. Elle pouvait entrer. C'est alors qu'un débordement de joie coula le long des joues de la jeune femme.

« Je survie libre comme l'eau dans un verre. Où que j'aille Maman, je garde ta souffrance au ventre, je fais de mon mieux Papa, pour ne jamais baisser les bras. Les frontières maman, je les vois dans le regard des gens. Je te promets papa, de ne jamais baisser les bras. Je te promets papa. »

EXTRAIT DU JOURNAL DE HARA.
Je te hais, et tu le sais. Maman.. Tu es morte pour cet homme. Tu t'es battue pour cet homme. Mais il est partit quand tu as perdu tes papiers. Oui Maman, la vie est difficile, moi qui suis née dans une maison sublime avec des parents adorables, tu as finis par avoir un soucis avec tes papiers. Nous sommes des étrangers, des Gadjins. Les gens ne nous aiment pas, ils ne nous aiment plus. Ce n'est pas de ta faute si tu as eus des dettes énormes à cause de cet homme. Cette erreur de la nature. Cette pourriture que tu as épousé et qui t'as lâché. Qui nous à lâchés. Je le hais, à cause de lui, nous avons dut déménager le peut qu'il nous restait dans un squat. Oui, maman, nous avons étés à la rue. Tu as tout fait pour me nourrir alors que je n'avais que 7ans. Tu as vendu ton âme au diable et à prostitué ce corps dont j'ai été fait de chaire et de sang. Ce corps pourtant si pur, souillé à jamais à cause de lui.. Tu as soufferts, je le sais, j'ai moi aussi souffert. Se battre pour survivre dans une société où les sans domiciles sont rejetés. Une main tendue aurait été la bienvenue, mais non.

Les malheureux souillent le bonheur des gens. Nous ne sommes pas normaux. Maman, Nous sommes des rats vivant sous un pont, avec nos trois chiens. Nos seules armes contre l'extérieur. Notre seule défense face à la criminalité du Japon.. Oui, maman, tu n'as jamais put m'offrir ce que je désirais, tu n'as jamais put m'envoyer à l'école. Mais je ne t'en veut pas. Tu souffrais, tu avais mal, et cette douleur je ne la connaissais pas encore. Cette vie, je l'aimais, et toi, je t'aimais. Tu étais mon soleil toujours levant. Tu éblouissais mes journées en me chantant des chansons. Puis tu es morte.. Tu es morte de faim et de souffrances. Je me souviens encore, Maman, ton corps froid allongé près de moi. Je me souviens t'avoir appeler, mais tu ne me répondait pas. Où étais-tu ? Ou étais-tu partie ? Pourquoi me laisser Maman ? Je sais comment tu as souffert.. Cette douleur, je l'ai ressentie en sachant que plus jamais je ne reverrai l'être le plus important pour moi. J'ai eus mal.. Terriblement mal quand tu es morte.

Tu sais Maman, un homme m'a adopté à l'orphelinat. Il était très dur mais aussi très riche. Tu me manques. Il me bats, mais je sais que c'est pour mon bien. Il m'apprends à me battre au détriment de sacrifices. Si je ne me bats pas bien, alors il me donne des coups de bambou. J'ai une haine, elle coule dans mes veines. Je suis une femme maintenant, après des années d'apprentissage d'art martial, je sais me battre. Et pour toi, maman, je vais le faire. Je vais retrouver cet homme, cette erreur. Je vais le faire pour toi. Je vais retrouver cette ordure qui t'as laissé seule quand tu as tout perdu. Je vais réparer cette erreur. Et cette erreur s'appelle Papa. Je ne baisserais pas les bras, je te le promets Papa.

-Hara ! Ca suffit ! Arrêtes !

La jeune femme lâcha alors la dépouille d'un jeune homme inconscient et taché de sang. Elle venait de le frapper tellement fort, qu'elle l'avait assommé. Elle n'avait que 16 ans à cette époque. Tant de violence dans l'âme d'une fille qui pouvait être si pure. Comment cette enfant de la rue avait put se transformer en démon rejeté par l'enfer lui même ? La jolie jeune fille, pourtant vêtue d'un kimono blanc, à présent ensanglanté se redressa. Puis baissa les yeux, sa haine était retombée.

-Maître Sayaka. Il à frappé son enfant.
-Tu ne dois pas répandre ta haine ainsi. Je t'ai appris la défense et non l'attaque. Je t'ai appris le respect et non la violence. Les affaires de cet homme ne te regarde pas.

Il était rare de découvrir Hara dans une telle haine et envie de sang. Seulement lorsqu'elle voyait un homme manquer de respect à une femme ou un enfant. Lui remontant en un tourbillon de souffrance son passé. Mais son comportement changea lorsqu'elle eut comme projet de devenir chanteuse et danseuse dans une célèbre école. Maître Sayaka lui appris, certes par la douleur et les limites froides, à être une femme respectable, polie. Mais non loin est son envie de voir du sang.

« Maman, il à ces vieux chiens, qui aboient toujours pour rien. Quand ils voient passer les trains qui s'éloignent toujours plus loin. »

Maître Sayaka était très dur avec elle, mais il à réussi. Hara est à présent une femme correcte, féminine, joyeuse. Même si lorsqu'elle voit du sang elle devient folle

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